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Jisbar

Par L'Art à Genève
17 avril 2018

Street Artist

Votre rôle dans le monde artistique ?

IDK :) 

Quel a été le déclic ?

Ça vient de mon enfance. Ma mère peignait par passion et je peignais à ses côtés. Ce langage m’a plu et m’a été immédiatement intelligible.

Aujourd’hui quelle est votre motivation ?

La liberté et le fait d’avoir un moyen d’expression et de diffusion qui n’appartient qu’à moi.

Votre rapport au marché de l’art ?

Traditionnel. Je travaille principalement avec des galeries et des musées. Je comprends le milieu du marché de l’art mais je garde mes propres codes de références.

Le courant artistique que vous préférez ?

Le Pop Art, le surréalisme et le néo-expressionisme.

La qualité que vous préférez chez un artiste ?

Il doit être déterminé, authentique. J’admire aussi son originalité.

Ce que vous redoutez le plus chez un artiste ?

Pas grand-chose. Je redoute davantage ceux qui se prétendent artistes et qui ne font en réalité que de la décoration d’intérieur.

L’œuvre d’art est-elle un objet sacré ?

Dire que l’œuvre d’art est un objet sacré est un gros mot ! C’est un objet important pour sa réalisation, pour les idées qu’elle véhicule et de la pérennité de ces dernières.

Quelle est pour vous la ville la plus artistique ?

Venise pour son histoire, son passé, sa mixité et son dynamisme culturels.

Que seriez-vous sans l’Art ?

Moins épanoui, et surtout moins libre de penser, de m’exprimer, de voyager