La Villa Dutoit est un « centre culturel de quartier » qui doit permettre de maintenir un pôle artistique de qualité dans un quartier décentré de la Ville. Les activités organisées dans ce lieu valorisent un bâtiment protégé qui fait partie du patrimoine architectural de la Ville de Genève, en y rassemblant des publics diversifiés et en offrant une tribune à des artistes de provenance variée.
Ce centre, situé au 5 chemin Gilbert-Trolliet au Petit-Saconnex, est géré par l’Association Villa Dutoit. Il a pour objectif général d’organiser des activités culturelles et sociales visant un public le plus large possible, tout en favorisant les relations entre les habitants et des acteurs culturels, notamment locaux.
Concrètement, l’Association Villa Dutoit développe une programmation de manifestations culturelles variées comprenant divers genres artistiques.
Elle organise ainsi :
- Expositions d’arts plastiques
- Concerts
- Spectacles de danse
- Bals
- Conférences
- Vernissages de livres
- Cours de danse
- Lectures
- Ateliers d’écriture
- Résidences d’artistes
Elle met aussi régulièrement sur pied des événements conviviaux pour animer la vie du quartier :
- Fête de l’Escalade (concert, conférence, soupe, bris de la marmite)
- Marché de l’art
- Pique-niques
https://www.artageneve.com/article/villa-dutoit-interieurs-afghans
Exposition
Née en France, études artistiques à Paris, école des arts appliqués, s’installe en Suisse, adhère à Visarte.
Assistante du professeur Bezençon en Arts visuels à l’école d’architecture à l’EPFL de 1974 à 1989.
Création de l’académie de dessin l’ACADE à Chavannes en 1990.
Coopère avec Dominique Hauser à l’Unité d’Art Contemporain à l’UNIL Lausanne de 2000 à 2008.
Continue parallèlement sa recherche personnelle en peinture et se consacre dès 1990 à l’abstraction, expose en Suisse et en Allemagne.
“Les tons mêlés de couches successives nourrissent la couleur de l’intérieur et le chaos s’organise et se simplifie jusqu’à une géométrie élémentaire mais fluide. Dominique Troillet entretient avec la couleur un rapport méditatif et sensuel.”
Tiré d’un article de Françoise Jaunin dans le 24H
