Riche de quelque 650'000 objets parmi lesquels des créations majeures et des séries uniques, il révèle sur cinq étages une partie de ses collections dévolues aux arts appliqués, aux beaux-arts et à l’archéologie.
Daté de 1910, son bâtiment est signé par l’architecte Marc Camoletti (1857-1940). Bordé de deux boulevards inférieurs, l’édifice est constitué d’un vaste quadrilatère établi autour d’une cour carrée.
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Exposition
« L'ordre des choses » Carte blanche à Wim Delvoye.
Pour sa quatrième exposition XL, le Musée d’art et d’histoire de Genève (MAH) invite Wim Delvoye à questionner notre rapport aux collections et aux institutions muséales. L’artiste plasticien propose « L’Ordre des Choses » une expérience artistique et esthétique inédite et une exploration profonde de notre relation à l'art et aux objets qui nous entourent.
À partir d’une grande remise à plat des références, des hiérarchies, et des catégories qui structurent nos jugements, l’artiste plasticien s’amuse à transformer profondément notre expérience muséale. Décalant le regard, l’invitant à abandonner toute fixité, le faisant joyeusement passer d’une pelle à un Picasso, puis d’un Canova à un étrange étui, et inventant un mode de circulation inédit d’une œuvre à l’autre, Wim Delvoye, comme à son habitude, surprend et interpelle à travers une proposition curatoriale qui vise autant à provoquer qu’à émerveiller.
Exposition
Le MAH présente avec De bleu, de blanc, de rouge. Les peintures françaises du XIXe siècle du MAH le résultat d’un programme de valorisation des peintures françaises du XIXe siècle (1800-1918), entrepris en 2020 en collaboration avec l’Université de Genève. Cette exposition met en lumière l'évolution du goût et des techniques artistiques de cette période riche en changements. Parmi les points forts figurent notamment des pièces telles que Mort de Socrate de François-Xavier Fabre et Vue d’Auvers avec champ de blé de Vincent van Gogh. Le parcours de l'exposition permet d'aborder tous les aspects d'un projet de valorisation patrimoniale, de la constitution de la collection aux questions de recherches en passant par l'étude du métier de peintre.
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Exposition
Le centième anniversaire du Manifeste du Surréalisme (1924) par André Breton est l’occasion de rappeler les aspirations de liberté et de rêve du mouvement surréaliste. Le MAH propose ainsi une exposition d’un fonds de dessins inédits de l’artiste bâloise Irène Zurkinden.
Restée dans l’ombre de son amie Meret Oppenheim, Irène Zurkinden a gravité dans le milieu surréaliste parisien dès 1929. Ses dessins témoignent d’une maîtrise du trait qui lui est propre. Ils sont souvent accompagnés de texte faisant allusion au monde onirique : « Le retour à la réalité comme un rêve dissipé. (…) Laisser le temps partir seul, ne même pas le suivre du regard ni du regret ». Cette exposition permet de ré-évaluer la place de cette artiste dans la scène artistique et les échanges qu’elle a eu avec des personnalités telles que Man Ray, Marcel Duchamp et Salvador Dali.
Un catalogue en ligne de la collection surréaliste du MAH, enrichi de quelques essais. En collaboration avec l’Institut d’histoire de l’art et de muséologie de l’Université de Neuchâtel.
Exposition
Cette exposition, coproduite avec le Muséum (MHN), invite le public à une exploration de la bicyclette sous ses aspects techniques, historiques, sociologiques et artistiques.
Au-delà de son apparente simplicité, le vélo se révèle être une invention révolutionnaire. De ses débuts au 19e siècle à son impact sociétal et les innovations techniques d’aujourd’hui, cet engin emblématique se laisse redécouvrir comme moyen de transport mais aussi comme source d'inspiration, de liberté et d'aventure. Une histoire captivante se dessine à travers la présentation d’une centaine de vélos de collection et des dispositifs interactifs permettent d’en saisir tous les secrets.
L’exposition propose également d’explorer l'impact du vélo sur l'espace urbain, de questionner sa place dans nos sociétés contemporaines et son rôle dans la promotion de la mobilité douce.